Dans quels cas consulter un psychologue pour enfant ?
Le très jeune enfant n’ayant pas -ou peu- la possibilité de s’exprimer par la parole, il utilise le langage du corps pour extérioriser son mal être. Les ajustements apportés pour favoriser son alimentation, son sommeil etc…, (sur les conseils du pédiatre ou du personnel de la crèche), n’amènent pas toujours l’amélioration attendue ; des circonstances particulières peuvent également rendent les choses plus difficiles (hospitalisation, isolement parental, handicap…)
C’est peut-être le moment de consulter votre psychologue pour enfant à Colombes.
Je vous aiderai à dénouer les tensions responsables des perturbations manifestées par l’enfant ou à passer un cap difficile.
Les difficultés de séparation
Confier son jeune enfant à une nounou, aux grands-parents, le conduire à la crèche ou à l’école maternelle peut se révéler difficile, pour l’enfant comme pour ses parents, …mais tout à fait normal.
Par contre lorsque cela perdure et qu’il faut aller travailler la boule au ventre parce qu’on a laissé son enfant en pleurs et en détresse, consulter votre psychologue pour enfant à Colombes peut aider.
Deux ou trois séances avec un psychologue peuvent suffire à améliorer les difficultés de séparation ; cela dépendra de leur origine.
Les problèmes de sommeil, d’alimentation ou d’incontinence.
Passer par des phases délicates avec son jeune enfant lors du sevrage, lors de la séparation avec la couche, est normal puisqu’acquérir l’autonomie signifie aussi pour l’enfant renoncer à un statut privilégié. Votre enfant peut être tiraillé entre le désir de grandir et celui « de rester bébé ». Mais le pédiatre en vient parfois à constater avec vous que votre enfant a du mal à dépasser ces étapes.
Si la peur, l’angoisse, les cauchemars, les refus alimentaires etc…s’installent, il peut être indiqué d’avoir recours à votre psychologue.
Les manifestations de colère, de refus, d’opposition
On le sait, elles font partie du développement de l’enfant, qui a besoin de s’opposer pour s’affirmer. Mais parfois leur intensité provoque des tensions qui peuvent devenir permanentes et préoccupantes et vous laisser désarmé (es) :
Faut-il tenir une position éducative ferme ? Faut-il « lâcher du lest » ? Nous verrons ensemble comment envisager les choses.
L’enfant à l’école
Vous attachezbeaucoup d’importance à la scolarité de votre enfant.
Vous savez en effet que votre enfant fait à l’école d’importants apprentissages, tant scolaires que sociaux.
Vous aurez sans doute également constaté que ce qui se passe à la maison retentit sur la scolarité, et inversement.
En tant que psychologue pour enfant exerçant à Colombes, je peux vous apporter mes compétences dans ce domaine, ayant exercé des stages en milieu scolaire durant mes études de psychologie. De plus je me suis spécialisée dans la psychologie de l’éducation. Je travaille en étroite collaboration avec les écoles de mes patients. En effet il me semble important de travailler ensemble pour le bien-être de l’enfant.
L’enfant à la maison
Les signes qui peuvent alerter…
« Notre enfant est agressif, triste, colérique, jaloux… Il nous pose des questions sur la mort… Ma fille refuse que je m’occupe d’elle, veut tout faire seule… Chaque matin c’est la boule au ventre pour se préparer… Il se retrouve toutes les nuits dans notre lit. … Mon enfant ne joue jamais seul… »
Tous ces signes ne sont pas forcément inquiétants : consulter
ponctuellement votre psychologue peut
permettre de faire la part des choses.
Mais il peut être nécessaire de mettre en place un suivi psychologique pour
votre enfant, lorsque les aménagements mis en place dans le quotidien n’ont pas
permis d’améliorer la situation.
Le chemin vers l’autonomie : devenir grand ou rester petit ? Pas si facile !
Les étapes vers l’autonomie franchies dès la petite enfance se poursuivent : s’adapter à l’école, faire seul sa toilette, ses « devoirs ».
« Il refait pipi au lit » … « elle imite sa petite sœur… »
Les choses peuvent se compliquer lorsque l’enfant a peur de grandir. Ceci peut se produire lorsque l’enfant rencontre l’idée de la mort ou lorsqu’il réalise que devenir adulte n’est pas si drôle. Il peut se mettre à « parler bébé », avoir du mal à entrer dans la lecture, vouloir à nouveau dormir dans le lit de ses parents… Je peux alors proposer une thérapie avec votre enfant afin de mieux comprendre l’origine du problème et comment le résoudre.